J’ai ressemant découvert une infamie : le vendeur m’a tromper l’être qui se trouve dans ma cage ne peut être un lapin. Bien que physiquement il lui ressemble je le soupçonne d’être un croiser entre deux espèce beaucoup plus rare… J’attend d’ici quelque temps la visite d’une vétérinaire biologiste capable d’appuyer ma thèse.
Je vais quand même vous faire part de mes recherches. Vous avez en photo non pas un lapin mais bien un croisement entre «
une taupe térrasière » et «
un paillasson des foret du nord à grandes oreilles ».
Ces races, me direz-vous sont méconnues… Attaquons nous d’abord aux caractéristique du lapin.
Le Lapin est découvert vers le Moyen Age, le premier spécimen gardait une grotte et fut découvert lors de la quête du Graal. Cette petite bête féroce est armée de crocs puissants, d’un petits nez qui n’a de cesse de remuez à la recherche d’une odeur de viande fraîche, d’oreilles fines et précise capable de déceler le bruit de la proie à des kilomètres… Le tout camouflé sous l’apparence d’une frêle et mignonne petite bête :
Le prédateur ultime.
Plus tard la petite bête fut adopter par la fille d’un dompteur de lapin. Et après avoir goûter au caresses il changea de régime et arrêta de manger les mains des enfant qui le caressait pour devenir encore plus pervers et se nourrire de leurs sentiment…
Or l’être qui se trouve dans ma maison n’est ni attiré par les caresses, ni agressif comme le sont les dignes descendant du « lapin blanc ».
Elle possède par contre une étonnante capacité à chambouler une cage, à déplacer des objet et à retourner de la terre. Et de par ceci elle tient de la taupe térrassière !
La taupe terrassière cousine peut connut du diable de Tasmanie, car elle mène sa vie sous terre, n’est connut des gens du commun que par les ravage qu’elle cause : on soupçonne même l’espèce d’être à l’origine de quelque tremblement de terre (cf.
traiter sur les espèces méconnues de Ralkafin Al’Kachie, chapitre 713).
Pour l’autre ligner de la bête que je maintient avec tant de mal enfermé, je l’ai découvert par inadvertance. Il faut savoir que c’est le nom qu’elle porte qui ma mis sur la voie : « Paillasson ». Ce nom lui vient de sa particularité à se tasser lorsque que l’on essaye de la caresser, se tasser jusqu’à devenir un paillasson …
Le paillasson des foret du nord est un espèce protéger et presque éteinte et donc peu connue. Elle possède la particularité de faire le mort lorsqu’elle à peur ce qui à rendu la chasse au paillasson sauvage extrêmement facile. Ce qui entraîne le petit prit des paillassons d’espèces communes. Le paillasson à grandes oreilles ayant l’ouïe fine à peur tôt et fut donc décimer par la chasse et le développement de la voiture. Maintenant la plus part des paillassons viennent d’élevage intensif (comme le nylon d’ailleurs dont peu de gens connaisse le plaisir de la chasse de cette espèce à l’état sauvage)(Cf.
Traiter sur l’histoire du paillasson de l’antiquité à nos jours).
Ces particularité de comportement m’on donc amener à supposer le faite que mon lapin, bien plus qu’un lapin (bien qu’il en possède sûrement quelques gènes) possède dans sa ligner des espèces rares voir éteintes !