Chapitre 1.
Les Plaines. Ces étendues vertes si grandes que les légendes elles-même n'en connaissent ni le début, ni la fin. De mémoire d'ancien, elles ont toujours resplendi de verdure, même par les temps glaciaux que pevent nous ammener les tempêtes d'Isild. Les hommes n'ont jamais voulu ni pu les conquèrir. On les prétends protègés des Dieux, le seul lieu où règne la véritable Paix.
Devant moi s'étendent les Plaines Infinies. C'est donc ici que devait aboutir cette longue suite d'évènements qui avaient tout bouleverser. je me demande encore pourquoi tout cela m'est retombé dessus. Surement le caprice d'un dieu quelquonc.... enfin bon.Je n'ai plus qu'à attendre ici que ça passe.
Je n'étais arrivé au bourg que depuis quelques heure et déjà les rumeurs à mon sujet se propageaient partout. C'est vrai que la ville de Fortan était assez réputée pour ça et que les nouveaux arrivants étaents toujours sujets à de nombreuses spéculations. Je n'étais arrivé dans cette ville uniquement pour y acheter quelques vivres, profiter d'une auberge et repartir vers la capitale où j'avais été demandée. Mias à la vue de la maigre bourse attachée à mon ceinturon, je me réolu à passer la nuit dans un étable, à l'insu de son propriètaire. C'est donc dans un confort relatif que je sombrais dans un profond sommeil, songeant au voyage de demain.
Je fus réveillée peu avant l'aube par l'agitation nerveuse des chevaux. C'est à peine si j'eu le temps de me cacher dans un box vide avant de voir entrer un homme, vêtu de noir, Portant un grand chapeau dans l'ombre duquel brillait un oeil jaune. D'un coup d'oeil, il examina l'étable et sortit, sans m'avoir remarquée. Les chevaux se calmèrent aussitôt, et je jugeais préférable de partir dès maintenant.
Plus tard, sur ma route, je vis apparaître la capitale, grande et majestueuse, Trasdrine surplombait Colline de l'Ambition qui s'élevait au-dessus de l'Empire. Je continuais ma chevauchée jusqu'au pied de la cité. Là, un garde m'arrêta et me demanda les raisons de ma venue. je répondis qu'on m'avait fait parvenir une missive et montrait le sceau qui l'ornait. Imperturbable, il s'écarta et me laissa passer.
Une fois la cour atteinte, j'en remarquais l'étrange tranquilité qui y règnait: les rares personne s'y étant installé n'osaient qu'à peine parler, surement de peur de gacher la quiètude de l'endroit. Penetrant dans le donjon principal et montant les escaliers menant au siège de la famille règnante, je m'interrogeait sur les véritables raions de ma venue ici.